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BRÈVES de MATHS – Page 13 Un millier de faits et chiffres sur les nombres et les
mathématiques Ces pages sont dédiées à tous ceux qui veulent
aborder les mathématiques en douceur et en s'amusant tout en découvrant les
aspects les plus fondamentaux de cette discipline. Un parcours à picorer avec
nombreux liens d'orientation vers les développements destinés à satisfaire
votre curiosité. En principe ces pages sont très abordables sans
connaissances particulières de maths. Elles sont proposées dans un ordre
quelconque favorisant la découverte de sujets multiples. |
Anglais: Facts and figures about numbers and mathematics
240. Nombre 13 |
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Propriétés Le nombre 13 est premier, jumeau avec 11. Il est
permutable car 31 est aussi premier. C'est un nombre de Fibonacci: 1, 1, 2, 3, 5, 8,
13… Divisibilité par 13 Les nombres de la forme abcabc sont divisibles
par 13: 123 123 / 13 = 9 471. C'est le cas notamment de 111 111 / 13 = 8 547. Curiosités 13 = 2² + 3² =
7² – 6² Mnémotechnique des nombres 13 a pour code mnémotechnique le mot TAMIS avec
les consonnes sonores T pour 1 et M pour 3. D'autres mots avec T et M
conviennent comme: tome, Tomas, timon,
atome, étamer, intime … |
Nombre dichotomique et
trichotomique La période de
l'inverse de 13 donne 999 lorsque coupée en deux et sommée; elle donne 99
lorsque coupée en trois et sommée. C'est une propriété fréquente pour les inverses
des nombres premiers. Superstition Souvent rapporté aux douze Apôtres de la Cène, la
croyance au 13 comme étant maléfique remonte à l'Antiquité. 12 est symbole
d'harmonie; lui ajouter 1 détruit la perfection. Dans la Rome antique, les exécutions avaient lieu
le 13. Le treizième tarot ne porte pas de nom; il
représente la mort, la transition… Vendredi 13 Une année comporte au minimum un vendredi treize
et au plus trois. Un mois qui commence un dimanche 1er
aura un vendredi 13. |
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241. Grandeurs utilisées en électricité |
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Six grandeurs CHARGE – coulombs (C) TENSION – volts (V) INTENSITÉ – ampère (A) RÉSISTANCE – ohms () PUISSANCE – watts (W) ÉNERGIE – joules (J) ou wattheure (Wh) Relations entre elles Voir les indications en jaune sur la figure. Sans oublier la loi d'Ohm: U = R x I |
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Analogie avec une chute d'eau Une chute d'eau très haute crée une grande force, une grande pression,
une grande tension. Une grande intensité correspond à un
grand débit; soit beaucoup d'eau (d'électrons) par seconde. Beaucoup d'eau avec grande force crée une grande puissance. Beaucoup de puissance pendant une longue durée engendre beaucoup d'énergie. Quant la résistance à l'écoulement de
l'eau, ce peut être des aspérités dans le tuyau, des rétrécissements
intempestifs … Tout ce qui empêche l'écoulement libre. S'il s'agissait d'une
rivière, on parlerait des rochers dans le lit ou des méandres du cours d'eau,
etc. En électricité, il s'agit des appareils qui consomment de l'énergie
comme les moteurs et surtout de tous
ceux qui chauffent (dissipation par effet Joule).
Le réservoir d'eau symbolise la quantité d'eau disponible, soit, la
quantité d'électrons; on dit la charge. Attention: l'analogie hydraulique a ses limites. Cette comparaison sert
uniquement à aider à la mémorisation des grandeurs utilisées en électricité. |
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242. Petit théorème de Fermat |
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Un théorème très utile en
théorie des nombres. Il affirme qu'un nombre et sa puissance p, p
étant un nombre premier, donnent le même reste lorsqu'on les divise par p. Exemple: le reste vaut 1 pour les deux
divisions Avec ce théorème inutile de faire les calculs
pour connaitre le reste d'une division. Exemples 1213 divisé par 13, reste 12 (comme
pour 12 /13) 1313 divisé par 13, reste 0 (comme pour 13 /13) 1413 divisé par 13, reste 1 (comme pour 14 /13) |
Théorème On lit: quel que soit
le nombre a appartenant à N (N est l'ensemble des nombres entiers) et quel que
soit le nombre premier p, la différence entre la puissance p de a et a
lui-même, est congru à 0 modulo p (ou donne un reste nul lorsque cette
différence est divisée par p). Notez la concision de la formulation par
rapport au texte explicite. Certes, il faut un peu d'habitude. Exemple particulier a = 2 Forme arithmétique Forme théorie des
nombres |
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243. Calcul différentiel et intégral |
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Approche Prenons un phénomène modélisé par une courbe pas
forcément très sympathique. Comment s'y prendre pour connaitre:
son taux de variation: la pente de la courbe, sa dérivée;
l'aire de la surface balayée: l'intégrale. Prenons un phénomène connu localement, comment
imaginer le comportement d'ensemble ? En utilisant le calcul intégral. Exemple Si la fonction est la distance parcourue par un mobile,
sa dérivée est la vitesse instantanée. Et, la dérivée de la vitesse est
l'accélération. Si on connait la vitesse instantanée d'un mobile,
pour reconstituer la distance parcourue on procédera à l'intégration de la
vitesse. Découverte En 1684, Leibniz publie ses travaux sur le calcul
différentiel et intégral, prenant de vitesse Newton et sa méthode des
fluxions. Dans un premier temps la correspondance entre ces deux hommes
attestent de leur respect mutuel. C'est l'entourage de Newton qui jalouse l'expansion
de la méthode Leibniz en Europe et qui attise la polémique. C'est pourtant la
méthode de Leibniz et ses notations, plus simple, qui va s'imposer. |
Illustration Calcul différentiel: la pente de la
courbe (sa tangente) tout le long de la courbe est appelée la fonction
dérivée. On s'intéresse à la
modulation de la courbe. Calcul intégral: la surface
balayée par la courbe est appelée sa primitive. Son calcul est nommé:
intégration. Double-face Dérivée et intégrale sont deux opérations
inverses comme le sont la multiplication et la division. |
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244. Ontologie des maths |
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Qu'en
pensez-vous? Est-ce que la propriété des nombres énoncée par le théorème de
Fermat-Wiles existait avant que Fermant ne la formalise sous cette équation: N'existe pas pour n
entier > 2 La
réponse semble évidemment oui. Cette propriété était latente et n'attendait
qu'à être révélée. L'humanité
braque une torche mathématique sur
le monde des nombres et, jour après jour, éclaire de nouvelles zones,
révélant de nouvelles propriétés. Une propriété mathématique mise au jour est
vraie pour toujours. |
Kurt Gödel est connu pour avoir démontré qu'il
impossible de poser des hypothèses minimales et en déduire une théorie
mathématique complète. Il pourrait être sceptique et prétendre que les maths
ne sont qu'inventions humaines. Pour lui, les concepts mathématiques
"forment une réalité objective à part que nous ne pouvons pas créer ou
modifier, mais simplement percevoir et définir". Platonisme mathématique ou réalisme mathématique: les
entités mathématiques ont une
existence objective. Elles ne sont pas une abstraction humaine. Le monde platonicien des
mathématiques existe indépendamment de la réalité physique. Triangle de Penrose: monde physique, monde mental et
monde platonicien des mathématiques. |
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Extrait du livre d'Edward
Frenkel: Amours et Maths |
Extrait
consultable en e-book sur Internet |
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245. Amusements avec les carrés |
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Nombres impairs Tout nombre impair est la somme de deux nombres consécutifs dont la
différence des carrés redonne le nombre initial. Motif amusant basé sur cette
propriété 11 =
6 + 5 = 6² –
5² 111 =
56 + 55 = 56² –
55² 1111 = 556 + 555
= 556² – 555² … Justification algébrique (k+1)² – k² = k²
+ 2k + 1 – k² = 2k + 1 => ce nombre est impair. (k+1)² – k² – 1
= k² + 2k + 1 – k² – 1 = 2k => ce nombre est pair. (k+2)² – (k–2)²
= k² + 2k + 4 – k² + 2k – 4 = 4k => ce nombre est divisible par 4. |
Nombres divisible par 4 Tout nombre divisible par 4 est la différence des carrés de deux
nombres situés de part et d'autre du quotient. Nombres pairs Tout nombre pair est la différence de carrés de deux nombres
successifs moins 1, le plus petit étant la moitié du nombre initial. Normal: un
nombre pair est égal à un nombre
impair auquel on retire 1. |
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246. Un à la puissance i |
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Le nombre 1 multiplié k fois par lui-même reste égal à 1. Mais est-ce vrai pour 1 porté à la puissance imaginaire i ? La réponse tentante est "oui". Mais, comment le prouver. Pas
si simple! Il faut d'abord examiner le cas d'un entier n porté à une puissance
complexe (a + ib) et prendre sa forme exponentielle. Ensuite, on peut y introduire n = 1, a = 0 et b = 1 et obtenir le
résultat cherché. |
Dans la mesure ou ln (1) = 0, ce résultat est généralisable à toutes
les puissances complexes de 1: 1a
+ ib = 1. |
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247. Loi de l'étalement uniforme |
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Loi de Benford La loi de l'étalement uniforme de la partie fractionnaire est une loi
simple qui est susceptible d'expliquer la loi de Benford ou loi du premier chiffre
significatif: la probabilité de rencontrer un chiffre en tête d'un nombre va
en décroissant du 1 (30%) au 9 (4,6%). Jean-Paul Delahaye |
Étalement uniforme La loi énonce en gros que: parmi une collection de nombres réels pris au
hasard, si on ne conserve que la partie fractionnaire, celle-ci sera
uniformément répartie entre 0 et 1. Exemples [7.9, 3.7, 9.6, 8.3, 5.1, 7.4, 5.0, .40, .30, 9.7], [1, 0, 2, 2, 0, 1, 2, 0, 1, 1] sur 1000 valeurs [98, 98, 104, 94, 91, 96, 101, 114, 107, 97] |
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248. Loi de Benford |
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Loi de Benford ou loi du premier chiffre significatif La probabilité de rencontrer un chiffre en tête
d'un nombre va en décroissant comme le montre le graphique. Historique En 1881, Simon Newcomb (1835-1909), un mathématicien
et astronome, constate que les premières pages des tables de logarithmes sont
plus usées que les autres. Il formule une loi qui tomba dans l'oubli. En 1938, Frank Benford, un physicien américain,
redécouvre une loi du même type. Intérêt Cette loi est utilisée pour détecter les fraudes.
Si les données son inventées, il est plus que probable qu'elles ne suivront
pas la loi de Benford. La répartition sera probablement plus uniforme que
pour des données réelles. Newcomb
proposait The law of probability of
the occurrence of numbers is such that all mantissae or their logarithms are
equally like La loi de probabilité d'occurrence des nombres
est telle que toutes les mantisses des logarithmes sont uniformes. |
Probabilité d'occurrence du premier chiffre dans
une série de nombres Table et formule
de Newcomb C1 est le premier chiffre et C2, le
deuxième |
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Anglais: le bagage mimimum au bac |
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249. Mot de Fibonacci |
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Mot de Fibonacci Comme
pour la suite de Fibonacci, on commence à poser deux valeurs de départ: M1
= 1 et = 0
On dit "mot" car les valeurs de départ peuvent être des
lettres ou des symboles. Puis on fixe
une règle de construction par récurrence: concaténation (juxtaposition) des
deux derniers mots. M3 = M2M1 = 01 M4 = M3M2 = 010 M5 = M4M3 = 01001 M6 = M5M4 = 01001010 M7 = M6M5 = 0100101001001 La quantité de chiffres est égale au nombre de Fibonacci de même rang,
celle de "0" au Fibonacci de rang inférieur et celle de
"1" de rang un cran en dessous. |
Fractale du mot de Fibonacci En interprétant le mot binaire comme des instructions de progression,
on obtient ce genre de jolie courbe. Propriétés Elle ne se recoupe jamais. Sa dimension fractale: 1, 637… Sa programmation avec le logiciel Scratch est très facile et de très
bon effet (Voir le lien). |
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250. Nombres S-Parfaits |
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Une idée de la construction Méthode de sélection des diviseurs telle que la somme de ces nouveaux
élus soit égale au nombre initial; ce nombre est alors S-parfait. Historique C'est en 1996, qu'Andrew Granville propose ce type de nombres à
Jean-Marie De Koninck et Aleksandar Ivié. |
Valeurs 6, 24, 28, 96, 126, 224, 384, 496, 1 536 … Avec 6 et 28 qui sont de vrais nombres parfaits. Le nombre 126 est le seul S-parfait connu comportant trois facteurs distincts. Ils sont tous divisibles par 2, et souvent par une puissance de 2. Ex:
1 536 = 29 x 3. |
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251. Multiplication mentale rapide |
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Prenons un exemple: 54 x 32. Se référer à
l'illustration de gauche. Sur les
colonnes de gauche comme de droite, on effectue simplement le produit des
chiffres de la colonne. Se référer au
tableau de droite. Ce tableau
indique comment placer les produits obtenus, en les décalant. Le produit est
la somme par colonne en tenant compte des retenues éventuelles. |
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252. Lemniscate |
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Courbe Courbe obtenue
en déplaçant un point dont le produit des distances à deux points fixes (les
foyers) est constant. Elle est en
forme de huit, symbole de l'infini. Constante Comme Pi pour
le cercle, la constante de la lemniscate permet le calcul de son périmètre P
par rapport à sa dimension c. |
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253. Cryptologie |
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Cryptologie: science du
secret, comprend:
cryptographie: écriture
secrète;
cryptanalyse: analyse de
l'écriture secrète. Cryptographie: protection
des messages notamment durant leur transmission d'un émetteur vers un
récepteur. Elle comprend:
la cryptographie symétrique ou clé secrète, et
la cryptographie asymétrique ou à clé publique. |
Exemple le plus simple Le plus ancien système de codage de message
consiste à substituer chaque lettre par la lettre située dans l'alphabet un
peu plus loin. ABCD avec un décalage de 2 devient: CDEF. Faiblesse de la méthode Actuellement la méthode est archi-connue, mais
au-delà de cela, ce type de méthode présente une faiblesse rédhibitoire. En
français on connait la fréquence des lettres et alors, on sait reconnaître
les plus fréquentes dans le message. Lettres les plus fréquentes en
français: E A I S N R T O L U D |
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254. Triangles dans le triangle |
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Combien de triangles dans le triangle bleu ? En jaune: 1 + 2 + 2 + 1 + 2 = 8 = 23
triangles |
Et dans celui-ci ? On note n la quantité de segments découpés
sur un des côtés Ce triangle bleu, avec n = 4, contient 43
triangles. Avec n quelconque, le triangle contient n3 triangles. |
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255. Souris sur un triangle |
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Énigme Trois souris se trouvent au sommet d'un triangle
équilatéral. Soudain, chacune choisit son sens et s'élance sur le périmètre,
toutes à la même vitesse. Quelle est la probabilité qu'elles ne rencontrent
jamais ? Solution Chacune choisit un sens de parcours parmi 2. Soit
8 possibilités pour les trois souris (2x2x2 = 23). Elles ne se rencontrent jamais si elles tournent
toutes dans le même sens. Soit 2 possibilités. La probabilité de non-rencontre est: 2/8 =1/4 = 25%. |
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256. Conversion binaire |
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Décimale vers binaire 4310 = 1010112 Qui se lit: 43 en base 10
(base décimale) est égal à 101011 en base 2 (binaire) Explications La
procédure consiste à diviser le nombre par 2 et à conserver le reste, puis
faire la même chose avec le quotient. 43 = 2 x
21 + 1, je garde le 1 en poids fort (chiffre à gauche du nombre binaire) Je
continue avec 21 = 2 x 10 + 1, etc. |
Tableau de conversion décimal vers binaire |
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Binaire vers décimal 11012 = 1310 Qui se lit: 1101 en
base 2 (binaire) est égal à 13 en base 10 (base décimale) Explications Le 1 à
droite "pèse" 1; Le 0 qui suit
contribue pour 0; Le 1
ensuite est dans la colonne de poids 22 = 4, il "pèse"
4; Le 1
final à gauche ajoute 23 = 8; et La somme
des poids donne: 1 + 0 + 4 + 8 = 13 |
Tableau de conversion de binaire en décimal |
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257. Rencontres sportives |
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Énigme Ce club comporte 10 équipes et le tournoi
consiste à ce que chaque équipe rencontre chacune des autres et cela deux fois
pour le match retour. Combien de matchs? Trois équipe – Un match (illustration) La première équipe joue avec la 2 puis le 3, soit
deux matchs; La deuxième équipe joue avec la 3, soit un match. Bilan pour trois équipes: 2 + 1 = 3 matchs Dix équipe – Deux matchs La première équipe joue contre les 9 autres, etc. Bilan: 2 fois (9 + 8 + … + 1) = 2 x (9 x 10)
/ 2 = 90 matchs. |
Rencontre entre trois équipes: 3 matchs |
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258. Hexagone et dodécagone |
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Construction Un hexagone central, autour duquel on construit
une étoile à six branches, un grand hexagone (limité en bleu) et un
dodécagone. Aire de ces polygones Hexagone central: 6T (six fois le triangle
équilatéral). Étoile: 6T + 6T = 12T Grand hexagone: 12T + 12T = 24T Dodécagone: 6T + 6T + 6C = 12T + 6C Rapports entre toutes ces surfaces |
Hexagone et dodécagone |
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259. Nombres de Harshad |
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Définition Nombre divisible par la somme de ses chiffres. Exemple de 10 à 50 10, 12, 18, 20, 21, 24, 27, 30, 36, 40, 42, 45,
48, 50 Chaine de Harshad (nombres
consécutifs) |
Le nombre 18 est divisible par (1 + 8
= 9) |
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